Mondolkiri
Au même titre que sa voisine le Ratanakiri, le Mondolkiri est une des provinces les plus sauvages du Cambodge. Elle est notamment connue pour ses collines boisées toutes en rondeurs, sa nature en partie préservée et les éléphants que les Bunong (ou Phnong) élèvent avec fierté. Essentiellement habitée par des ethnies minoritaires, cette région vallonnée enchantera ceux qui souhaitent sortir des sentiers battus lors de leur voyage au Cambodge.
Mondolkiri, aux confins du Cambodge et du Vietnam
- Être à l’écart du flux touristique
- Les collines verdoyantes et les forêts
- Les randonnées
- La rencontre avec les ethnies minoritaires
- Se baigner dans les cascades
Meilleure saison : de novembre à mai
Le saviez-vous ?
C’est Henri Maitre, dont l’histoire est racontée par Roland Dorgelès dans Route des tropiques publié en 1944, qui a véritablement “découvert” et exploré le Mondolkiri. Il y mourut, tué lors d’un piège tendu par les chefs phnong.
À éviter...
Rencontre avec les éléphants domestiques des Mnong,
Une activité qui pose des problèmes d’éthique. En effet, cette activité cache une réalité dont peu de voyageurs ont conscience. Pour en arriver là, les animaux subissent une vraie torture. Si les mots peuvent sembler forts, ils ne le sont hélas pas, comme en témoignent tous ceux qui ont pu voir de leurs yeux ce qu'il se passe réellement. En effet, pour être dressés, les éléphants subissent un rituel appelé "phajaan". Le principe est simple : "briser l'esprit" de l'éléphant.